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Hydratation/H2O : L’eau c’est la vie. On le sait tous et pourtant… Boit-t-on assez ?
Notre corps est composé en moyenne de 70% d’eau. Elle se trouve partout, dans tous les tissus, les organes, les tendons, les muscles, à l’intérieur de toutes leurs cellules. Elle participe à la plupart des échanges chimiques, elle transforme, transporte, dilue, dissout, nettoie, lubrifie, voire même porte de l’information. Son inertie thermique nous permet de conserver notre température de fonctionnement, elle protège notre cerveau, le fœtus dans son liquide amniotique … Bref, cela confirme que quand tout va bien : tout baigne.
Mais nous ne sommes pas pour autant un réservoir d’eau. L’ensemble des dynamiques dans lesquelles elle est impliquée requière un renouvellement régulier. Il faut donc compenser les pertes journalières (sueur, urine, fèces, évaporation, expiration) par des apports réguliers pour maintenir l’équilibre.
L’eau entre (si possible pure) et ressort chargée de ce que le corps ne peut ou ne doit pas garder. Les opérations de filtrage à assurer pour cela impliquent une activité de certains de nos organes, notamment les reins. Il convient de respecter leur rythme de fonctionnement nominal en ne buvant pas de trop grosses quantités d’un coup, puisque le fonctionnement de notre biologie repose sur des équilibres et des proportions très précises. Revenir à l’équilibre mettrait ces filtres naturels en surrégime avec des conséquences physiologies et émotionnelles car tout est lié.
Dépasser les capacités de traitement de nos reins comme ne pas boire suffisamment peut donc avoir des conséquences sur la santé : surpoids, faiblesse immunitaire, décalcification, difficultés de mémorisation.
En résumé : il faut boire suffisamment (1,2 à 2l d’eau par jour selon les conditions physiques et climatiques), mais pas trop non plus et tout cela de manière continue par petites quantités tout au long de la journée.
Au-delà de son importance capitale dans nos mécanismes physiologiques, plusieurs travaux ont abordé des propriétés très inattendues de l’eau. Les travaux de saxon Samuel Hahnemann qui ont fondés l’homéopathie ou de Jacques Benveniste beaucoup plus récent, qui suggèrent que l’eau à capacité à conserver une information de présence voire de propriétés de molécules avec lesquelles elle a été en contact. Dans la pratique : après une dilution extrême qui devrait rendre totalement inopérantes les propriétés de la dite molécule, il a été constaté que ses effets biologiques étaient toujours présents. Bien que rejetés par la science lors d’un un vif débat médiatique fin des années 80, les résultats obtenus, reproduits de multiples fois, restent inexpliqués. Encore plus troublants sont les travaux très contestés de Masaru Emoto sur l’impact d’intentions et d’émotions sur la structure de l’eau.
Sans être en mesure d’expliquer ces phénomènes, le fait qu’ils aient été observés, mesurés avec une rigueur toute scientifique (Jacques Benveniste était chercheur à l’INSERM), questionnent grandement sur le pouvoir de l’eau qui pourrait être encore plus fondamental que ce que les outils de la science d’aujourd’hui peuvent « voir ». L’omniprésence de l’eau dans notre corps en ferait un vecteur d’informations subtiles, réactif aux émotions ou à des traces infinitésimales de molécules disparues… Sait-on jamais, quand suffisamment d’eau aura coulé sous les ponts…